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C’est lors d’une de ses interminables insomnies que le jeune suisse Théo Marclay trouve son nom de scène : Nuit Incolore. Désormais, il passera le reste de ses nuits blanches à composer des chansons, semblables à des poèmes mélancoliques. Il met en scène les doutes et les peines qui l’habitent grâce aux notes de son piano qui lui permettent d’attirer la lumière dans les coins les plus sombres de sa personne, comme s’il était le héros de son propre manga. Inspiré de chanteurs comme Tsew The Kid et Joji, mais aussi par les films de Tim Burton et les animés japonais, l’univers de Nuit Incolore est un voyage, une invitation hypnotique à passer des “nuits sans couleur” à ses côtés.
Attention : pas de places assises, même PMR, possibilité de venir en fauteuil roulant (zone réservée)